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Présumé assassinat chez Pierre Dimba : le ministère dément et annonce des poursuites

Le présumé assassinat survenu sur le ministre Pierre Dimba de son garde de corps a fait la une des réseaux sociaux. La réaction du ministère de la santé ne s’est pas fait attendre. Par voie de communiqué, le ministère a apporté un démenti formel aux allégations qui circulent sur la toile depuis quelques heures.

Le présumé assassinat du garde de corps du ministre Pierre Dimba est un mensonge monté de toute pièce et diffusé sur les réseaux sociaux. Le ministère de la santé a rendu ce jeudi 10 juillet un communiqué relatif au présumé assassinat du garde du corps du ministre Pierre Dimba, ministre en charge de la santé. Selon les fausses infos diffusées sur la toile, ce garde de corps, de nationalité camerounaise, aurait été assassiné au domicile du ministre de la santé. Très rapidement ces informations ont été démenties à travers un communiqué :

«Il circule depuis quelques heures sur les réseaux sociaux une fausse information faisant état de l’assassinat présumé d’un garde du corps d’origine camerounaise à la résidence du Ministre de la Santé, de l’Hygiène Publique et de la Couverture Maladie Universelle, Monsieur Pierre N’gou DIMBA. Le Ministère tient à démentir formellement cette rumeur infondée. Aucun incident de ce type n’a eu lieu, et le Ministre Pierre N’gou DIMBA n’a jamais eu de garde du corps de nationalité camerounaise. Il s’agit d’une fake news délibérément fabriquée dans le but de nuire à l’image du Ministre et de semer la confusion au sein de l’opinion publique.», a déclaré le ministère dans son communiqué.

Outre ce démenti formel, toute personne à l’origine de cette fausse information de présumé assassinat chez Pierre Dimba, devrait se retrouver très bientôt devant la justice : «Le Ministère appelle la population à faire preuve de vigilance face aux informations diffusées sur les réseaux sociaux et à ne relayer que celles des sources officielles. Des dispositions sont en cours pour identifier les auteurs de cette désinformation afin qu’ils répondent de leurs actes devant la justice.», conclut la direction de communication du ministère de la santé en Côte d’Ivoire. La PLCC devrait être saisie pour donner une suite à cette affaire de diffusion de fausses nouvelles sur les réseaux sociaux.

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