Le prétendue incendie du domicile du DG de la police ivoirienne par des manifestants du front commun a fait le tour des réseaux sociaux. Dans une publication faite ce dimanche 19 octobre 2025, la page Alerte 100 a formellement démenti cette fausse information relayée sur les réseaux sociaux depuis quelques heures.
L’incendie du domicile du DG de police ivoirienne est une fausse information diffusée sur la toile. Depuis l’ouverture de la campagne, les réseaux sociaux sont saturés de fausses informations relayées par des individus tapis dans l’ombre, qui pour certains sont hors du pays. Ce dimanche 19 octobre, une page d’activiste a indiqué sur les réseaux sociaux qu’une des résidences du patron de la police ivoirienne avait été incendiée par des insurgés et manifestants. L’information concernant l’incendie du domicile du DG de police ivoirienne vient d’être démentie ce dimanche :
«Fausse information en circulation ! Une publication relayée sur les réseaux sociaux prétend que des insurgés, proches du Front Commun auraient incendié l’une des résidences du Directeur Général de la Police Nationale. Cette information est totalement fausse. L’image du véhicule en feu date du 20 juin dernier et en relative à son incendie. Par ailleurs, pour crédibiliser leurs fausses informations, les auteurs citent Alertes100, la PLCC, l’ANSSI ou l’AIP comme sources officielles.», a rapporté la page Alerte 100, en réponse aux fausses informations relayées sur les réseaux sociaux.
La campagne électorale en Côte d’Ivoire est malheureusement marquée par une campagne d’intoxication sur les réseaux sociaux, suite aux appels à manifester contre le déroulement du processus électoral. Malgré les décisions prises par le Conseil National de sécurité, relativement aux manifestations pendant cette période électorale, des opposants continuent toujours d’appeler des jeunes ivoiriens à occuper les rues et perturber le processus électoral en cours. Dans une récente déclaration, le Procureur de la République a fait savoir que 700 personnes avaient été arrêtées dans le cadre de ces manifestations interdites.






