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Flan Japhet Tokpa interpellé par la PLCC après son commentaire offensant sur Facebook

Flan Japhet Topka a été interpellé par la PLCC suite à son commentaire offensant publié sur Facebook. Plusieurs internautes étaient montés au créneau pour dénoncer les propos tenus par le jeune agent de santé. Il n’aura pas fallu longtemps à la PLCC pour l’interpeller et le mettre à la disposition de la justice ivoirienne.

Flan Japhet Tokpa a bel et bien été interpellé par la PLCC, la plateforme de lutte contre la cybercriminalité en Côte d’Ivoire. Ces derniers jours, cet agent de santé s’était malheureusement illustré de la plus mauvaise des manières, via un commentaire offensant d’une extrême gravité sur les réseaux sociaux. Comme il fallait s’y attendre les captures écrans de son commentaire ont très vite fait le tour de la toile. Il ne faudra pas longtemps pour que Flan Japhet Tokpa soit interpellé par la PLCC pour la gravité des propos tenus sur Facebook, lors d’un commentaire sous une publication :

«Malheureusement, le débat public est de plus en plus pollué par des propos haineux, des insultes et des attaques personnelles, qui fragilisent notre cohésion sociale et notre vivre-ensemble. C’est dans ce contexte que FJT, jeune cadre du secteur de la santé, a récemment publié un commentaire gravement injurieux visant une personnalité publique. Ce message, choquant par sa violence verbale, a suscité une vive émotion au sein de l’opinion. Saisie par une information judiciaire, la Plateforme de Lutte contre la Cybercriminalité (PLCC), avec l’appui des autres centres techniques de l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI), a ouvert une enquête.

Les investigations ont permis l’interpellation de l’auteur, qui a reconnu les faits et présenté ses excuses lors de son audition.», rapporte la plateforme de lutte contre la cybercriminalité. Flan Japhet Tokpa, interpellé par la PLCC, est désormais poursuivi pour «atteinte à l’image et injures à l’encontre d’une autorité, en application de l’article 60 de la loi n°2013-451 du 19 juin 2013 sur la cybercriminalité et de l’article 367 du Code pénal.», souligne la plateforme de lutte contre la cybercriminalité.

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