L’homosexualité en Côte d’Ivoire est un fléau qui occupe une place dans le programme du candidat Tiémoko Assalé. Si la pratique n’est pas officiellement criminalisée en Côte d’Ivoire, elle pourrait l’être si le candidat ADCI accédait au pouvoir lors de la présidentielle ivoirienne du 25 octobre 2025.
L’homosexualité en Côte d’Ivoire n’est pas criminalisée comme le souhaiteraient certains ivoiriens. A ce jour, Tiémoko Assalé est l’unique candidat à la présidentielle ivoirienne à se prononcer directement sur ce phénomène de woubis en Côte d’Ivoire. Pour le candidat ADCI, l’attachement à nos valeurs culturelles ne doit laisser aucune place à la propagation de l’homosexualité en Côte d’Ivoire : « »Sur la question de ce que vous appelez le « woobisme », notre position est très claire et je voudrais la réaffirmer ici. Le préambule de notre constitution est très clair. Le peuple de Côte d’Ivoire reste attaché à ses valeurs culturelles et la famille formée par un homme et une femme, fait partie de nos valeurs culturelles.
Par conséquent nous ne reconnaissons rien d’autre. Il n’y aura aucune tolérance à l’égard de quelque déviation que ce soit, ce n’est pas parce que notre pays n’a pas encore clairement légiféré sur cette question que cela doit être considéré comme autorisée. Je vous ai dit que nous comptons mettre de l’ordre dans ce pays si nous avons le pouvoir d’Etat. Aucune déviation ne sera tolérée dans nos rues et nous protégerons notre jeunesse contre toutes formes de dépravations, je le fais déjà dans la commune où je suis maire.», a déclaré le candidat à la présidentielle ivoirienne.
Le député maire de Tiassalé qui a récemment interdit la boisson Vody dans sa localité projette désormais de s’attaquer à un sujet suscite une vive polémique en Côte d’Ivoire, la propagation de l’Homosexualité. Parmi ses corollaires en Côte d’Ivoire, une propagation de la pédocriminalité. La commune de Port-Bouët est depuis quelques jours secouée par un scandale de pédophilie impliquant un présumé marabout avec des jeunes garçons dont certains n’auraient pas encore atteints l’âge de 18 ans. Si les crimes sexuels sur mineurs sont punis par la loi, le cas de l’homosexualité en Côte d’Ivoire, communément appelé woubisme, n’est pas clairement criminalisé.