Les litiges fonciers et affaires d’ACD en Côte d’Ivoire ont suscité une attention particulière de Tiémoko Assalé, président du mouvement politique ADCI. En sa qualité d’homme de média et journaliste d’investigation, l’élu ivoirien affirme avoir mené des investigations dans le domaine du foncier ivoiriens, des investigations dont les résultats donnent froid dans le dos.
Les litiges fonciers et affaires d’ACD qui ont récemment secoué la Côte d’Ivoire, ont suscité des réactions de nombreuses personnalités politiques. Et Tiémoko Assalé est sans aucun doute l’homme politique qui s’est le plus investi dans ces nombreux litiges fonciers et affaires d’ACD. Il a diligenté une enquête dans l’affaire Djorogobité 2 et s’est également investi en tant que journaliste dans plusieurs dossiers fonciers. Malheureusement, le journaliste ivoirien a été récemment débouté par la justice ivoirienne, suite à sa plainte déposée contre Komé Bakary. Pour autant, Tiémoko Assalé ne compte pas renoncer à son combat dans ces litiges fonciers et autres affaires d’ACD.
Pour ceux et celles qui l’ignorent, le journaliste d’investigation avait promis de faire de nombreuses révélations sur ces affaires qui sont encore pendantes devant la justice. Les révélations tant attendues du journaliste d’investigation verront très bientôt le jour : «En tant que Député engagé, jamais je n’abandonnerai les victimes et je ne garderai pas le silence face aux rapaces qui convoitent nos terres, face à la prédation. Dès la semaine prochaine, le site professionnel de l’Éléphant Déchaîné, www.elephantdechaine.net, sera opérationnel.
Nous y publierons des enquêtes percutantes sur les spoliations foncières à Abidjan et à travers le pays, des affaires où des hauts fonctionnaires sont directement impliqués. La Côte d’Ivoire ne peut pas continuer à être cette exception où ceux qui sont payés par l’argent public pour protéger le peuple dans ses droits, les institutions, se transforment en oppresseurs, collaborant avec des intérêts financiers puissants pour infliger des souffrances intolérables tant morales que financières à leurs propres compatriotes. Dans un pays où des faussaires sont ennoblis voire défendus ou protégés, pendant que leurs victimes se meurent, il suffit de penser au sort demain, de nos propres enfants, pour comprendre que nous ne pouvons pas croiser nos bras et nous taire.», a déclaré Tiémoko Assalé.
