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Toh Bi Vincent dénonce les attaques contre sa candidature à la présidentielle

Toh Bi Vincent dénonce les multiples attaques dont il fait l’objet depuis l’annonce de sa candidature au prochain scrutin présidentiel en Côte d’Ivoire. L’ancien préfet d’Abidjan a tissé une alliance politique avec Tiémoko Assalé, candidat ADCI à la présidentielle d’octobre prochain en Côte d’Ivoire.

Toh Bi Vincent réagit aux attaques dont il fait l’objet depuis qu’il a annoncé sa candidature à la présidentielle ivoirienne de 2025, prévue pour le mardi 25 octobre. Ancien préfet d’Abidjan, il a décidé de se lancer à la course à la présidentielle ivoirienne il y’a de cela quelques mois. Dans le cadre de cette élection, il a d’ailleurs formé une alliance dénommée AJUNA avec le président du mouvement politique ADCI, le député maire Tiémoko Assalé. Mais depuis quelques temps, Toh Bi Vincent l’objet de nombreuses attaques en raison de sa candidature à la présidentielle ivoirienne. Ce mercredi 16 juillet, l’ancien préfet d’Abidjan a décidé de dénoncer ces attaques contre sa candidature : «Hier, j’ai lui un texte sur les réseaux sociaux. Il était tellement beau, tellement bien écrit.

L’auteur m’a paru un virtuose de la littérature, il s’est déjà attaqué à moi, m’a déjà vilipendé sans raison. Mais je ne réponds jamais jamais jamais à ceux qui s’attaquent à moi dans les réseaux sociaux, dans les médias traditionnels, sur les plateaux télé et radio. Je ne l’ai d’ailleurs jamais fait. En tant qu’être humain, je conçois que je ne suis pas infaillible et qu’à tout ce que j’écris ou je dis, il peut y avoir des arguments contraires plus forts et plus éclairés que ce que j’exprime. Quel plaisir trouvent des supposés intellectuels, disons plus justement des lettrés à détruire, à museler, à faire emprisonner, à livrer à la vindicte populaire et à faire tuer des personnes dont ils ne partagent pas l’opinion ?», souligne l’ex-préfet ivoirien.

Pour conclure, Toh Bi Vincent a adressé une mise en garde aux auteurs de ces attaques dont il fait l’objet, depuis qu’il s’est déclaré candidat à la présidentielle d’octobre prochain : «À l’heure du numérique où rien ne s’efface et où rien ne disparaît, leurs enfants, leurs parents, leurs dépendants, assumeront 100 plus tard ce qu’ils auront écrit, quand l’Histoire aura changé de direction. Ils devront aussi assumer devant la Justice les conséquences de leurs écrits, quand ils n’auront plus la protection temporaire et temporelle.», lance l’ex-préfet ivoirien.

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