Le financement de la campagne électorale de Simone Gbagbo se fera-t-il avec de l’argent public ? Dans une parution datant de quelques jours, le journal Africa Intelligence révélait entre ses lignes que la candidate à la présidentielle aurait discrètement engagé des négociations en vue d’obtenir un fonds public pour mener sa campagne à la présidentielle.
Le financement de la campagne de Simone Gbagbo à la présidentielle ivoirienne ne se fera pas fonds public, d’après les informations révélées par le média Africa Intelligence. Candidate retenue à la présidentielle du 25 octobre prochain en Côte d’Ivoire, l’ancienne première dame apporte un démenti formel aux révélations faites il y’a quelques jours par le média Africa Intelligence. Selon le média en ligne, l’ancienne première dame aurait engagé des discussions secrètes en vue d’obtenir un fonds public pour sa campagne électorale.
D’après l’avocat de l’ancienne première dame, le financement de la campagne de Simone Gbagbo à la présidentielle ivoirienne n’a jamais fait l’objet d’une quelconque discussion secrète pour obtenir des fonds publics : «Le mercredi 24 septembre 2025, le journal Africa Intelligence dans sa parution titrée « Cote d’lvoire / Présidentielle : l’épineuse question du soutien financier aux candidats » soutient que Docteure Simone EHIVET GBAGBO, présidente du MGC et candidate aux élections présidentielles d’octobre 2025 mènerait de « discrètes consultations pour obtenir un appui financier public ». Madame Simone Ehivet Gbagbo condamne fermement ces propos mensongers publiés sans une once de preuve.
Ces accusations totalement infondées et calomnieuses constituent une atteinte à son honneur et à sa réputation.», indique Me Dadje Rodrigue, avocat de la présidente du MGC. Face à ces allégations qui ternissent son image, surtout à l’approche de la campagne électorale, l’ancienne première dame : «se réserve le droit d’engager toutes procédures judiciaires afin d’obtenir la production des preuves de ces assertions calomnieuses. Le respect de la vérité et de la légalité étant une nécessité, toute tentative de diffamation sera poursuivie avec la plus grande sévérité.», a conclu le Conseil dans son communiqué.