En l’espace d’une semaine, il s’agit du troisième cas de viol rapporté par les médias en Côte d’Ivoire. Agée de 12 ans, la jeune élève inscrite en classe de CM2, revenait de l’école lorsqu’elle a été accostée par un commerçant ambulant d’une quarantaine d’années. Sans défense, la jeune fille ne pourra rien face son prédateur sexuel qui sera heureusement cueilli par la police après son acte odieux.
Alors que toute la Côte d’Ivoire est choquée par le viol d’une fillette de trois ans, une autre fille âgée de 12 ans vient d’être victime d’agression sexuelle dans la ville de Bouna. Elève inscrite en classe de CM2, la victime était de retour lorsqu’elle a malheureusement croisé le chemin de son prédateur sexuel. Profitant de la solitude de la jeune élève, le violeur a d’abord tendu un billet de 1000 frs à la jeune élève, chose que cette dernière à refuser poliment.
Face à ce refus, le violeur, un homme d’une quarantaine d’années, fera usage de la force pour assouvir son désir sexuel sur la jeune fille de 12 ans. Il saisit de force la jeune élève de CM2 avant de la faucher dans les broussailles pour assouvir son désir sexuel. En dépit de son impuissance à se protéger contre ce prédateur sexuel, la jeune élève de 12 ans réussira à pousser tout de même des cris qui alerteront une passante à moto. Cette dernière surprendra le violeur en flagrant délit sur sa victime.
Pris de panique, l’homme de 40 ans prend la fuite de peur d’être reconnu par la passante. Fort heureusement, celle-ci identifiera le violeur, car étant l’une de ses clientes. Informée, la police mènera son enquête qui aboutira à l’interpellation du violeur le même jour des faits. Placé sous mandat de dépôt, le violeur répondra de son acte devant les juridictions compétentes.
La récurrence des cas de viol sur les jeunes filles en Côte d’Ivoire a fait ressurgir le débat sur la peine de mort en Côte d’Ivoire. Pour certains ivoiriens, l’unique moyen de dissuader ces violeurs serait de réinstaurer la peine de mort dans le code pénal ivoirien. Si elle était présente dans la première Constitution ivoirienne, elle disparaîtra avec le temps lors des révisions constitutionnelles à venir.
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