Voici la liste des 12 nouveaux péages en 2024 en Côte d’Ivoire

La liste des 12 nouveaux péages en 2024 en Côte d’Ivoire est officiellement connue. Les dates de mise en services seront ultérieurement communiquées aux usagers des routes et autoroutes. Après la mise en service, le pays disposera d’environ une vingtaine de poste à péage.

La liste des 12 nouveaux péages en 2024 en Côte d’Ivoire n’est pas un secret de polichinelle. Le lundi 13 novembre 2023, l’Etat de Côte d’Ivoire a annoncé la mise en service effective d’une douzaine de postes à péage, sur l’ensemble du territoire national, dans le courant de l’année 2024. Les montants à payer pour le passage à ces postes sera ultérieurement communiqué aux usages des routes ivoiriennes.

Comme il fallait s’y attendre depuis le lancement des travaux, le 4ème pont d’Abidjan disposera d’un poste à péage. Le montant devrait être identique à celui du pont Henri Konan Bédié, à savoir aller de 500 fcfa pour les véhicules légers à 1500 FCFA pour les poids lourds.

Sur la liste des 12 nouveaux péages en 2024 en Côte d’Ivoire, il y’a évidemment le poste à péage sur l’axe Bouaké Ferkessédougou. Dans le courant de l’année 2024, l’état de Côte d’Ivoire prévoit la mise en service d’un poste de péage sur l’axe Abengourou – Agnibilékrou.

Considéré comme l’un des axes routiers les plus attendus par les ivoiriens, la route de la côtière ne fera pas exception des postes à péage. Sur la liste des 12 nouveaux péages en 2024 en Côte d’Ivoire, quatre seront construits sur l’axe reliant la ville de Dabou à celle de San-Pédro, dans le sud-ouest du pays :

•4ème pont d’Abidjan (1 péage ),
•Yamoussoukro – Bouaflé – Daloa (2 péages),
•PK109 – Divo – Gagnoa (2 péages),
•Bouaké – Ferkessédougou (1 péage)

•Abengourou – Agnibilékrou (1 péage)
•Grand Bassam – Assinie (1 péage)
• Route de la côtière « Dabou – San Pedro » (4 péages).

Avant la mise en service de ces 12 postes en 2024, le pays compte déjà péages actuellement en service. D’ici fin 2024, une vingtaine de postes à péage devraient être fonctionnelles sur l’ensemble du réseau routier ivoirien, une situation qui devrait permettre à l’Etat de renflouer ses caisses dans les années à venir.