Qui sont les femmes les plus riches d’Afrique en 2020 ? Le magazine américain Forbes nous livre des éléments de réponse dans son classement annuel des milliardaires africains. Cette année, le magazine américain n’a recensé que 20 milliardaires sur le continent africain.
Les femmes les plus riches d’Afrique en 2020 voient leur fortune reculer cette année, selon les informations fournies par le magazine américain Forbes. Comme c’était le cas l’année dernière, on ne dénombre que deux personnalités féminines dans le classement Forbes des personnalités les plus riches d’Afrique en 2020. Sans surprise, la milliardaire angolaise conserve cette année son titre de première fortune féminine du continent africain.
Avec une fortune estimée à 2,2 milliards de dollars, Isabel Dos Santos est classée première parmi les femmes les plus riches d’Afrique en 2020. Il y’a de cela quelques années, la fortune de la milliardaire angolaise s’élevait à plus de 3 milliards de dollars. Mais ces trois dernières années, depuis le départ de son père de la présidence de l’Angola, on note une baisse de la fortune de la fille aînée de l’ex-dirigeant angolais.
Aux commandes de Sonangol, la compagnie nationale pétrolière angolaise, Isabel Dos Santos a été évincée de la présidence du conseil d’administration de ladite compagnie, suite à l’arrivée du nouveau dirigeant angolais. Malgré une baisse de sa fortune, Isabel Dos Santos reste la femme la plus riche du continent africain avec un patrimoine estimé à 2,2 milliards de dollars selon le média américain Forbes.
Malheureusement, la milliardaire angolaise quitte le top 10 des fortunes africaines cette année. Sur la liste des 20 milliardaires recensés cette année par Forbes, Isabel Dos Santos occupe la 13e place du tableau. Classée deuxième parmi les femmes les plus riches d’Afrique en 2020, la milliardaire nigériane Folorunsho Alakija a elle-aussi régressé au classement des milliardaires cette année.
Qui dit régression au classement dit régression de fortune par la même occasion. Selon les révélations du média américain Forbes, Folorunsho Alakija est aux commandes d’une fortune estimée à 1 milliard de dollars cette année. La milliardaire nigériane ferme cette année la marche du classement Forbes des africains les plus riches. Isabel Dos Santos et Folorunsho Alakija sont les deux milliardaires recensées cette année par le magazine américain Forbes.
Ces femmes d’affaires oubliées dans le classement Forbes
Si pour Forbes elle ne fait pas partie des femmes les plus riches d’Afrique en 2020, la milliardaire ghanéenne Patricia Poku-Diaby des grosses fortunes féminines sur le continent africain. Selon les informations révélées par les médias ghanéens, la femme d’affaires ghanéenne serait aux commandes d’une fortune estimée à 720 millions de dollars.
Elle viendrait donc en troisième position parmi les femmes les plus riches d’Afrique en 2020, si l’on se fie aux chiffres révélés par les médias ghanéens. La milliardaire camerounaise Kate Fotso, veuve de l’homme d’affaire André Fotso, figure elle aussi parmi les plus grosses fortunes féminines du continent. Malheureusement, elle n’est pas citée parmi les femmes les plus riches d’Afrique en 2020 par le magazine Forbes.
Top 10 des femmes les plus riches en 2020
• 10e Gifty Lamptey (Ghana) 135 millions de dollars
• 9e Wendy Ackerman (Afrique du Sud) 161,23 millions de dollars
• 8e Wendy Appelbaum (Afrique du Sud) 220,63 millions de dollars
• 7e Kate Quartey-Papafio (Ghana) 250 millions de dollars
• 6e Kate Fotso (Cameroun) 252 millions de dollars
• 5e Thérèse Oppong-Beeko (Ghana) 420 millions de dollars
• 4e Hajia bola shagaya (Nigéria) 630 millions dollars
• 3e Patricia Poku-Diaby (Ghana) 720 millions de dollars
• 2e Folorunsho Alakija (Nigéria) 1 milliard de dollars
• 1e Isabel dos Santos (Angola) 2,2 milliards de dollars.
Liste et classement 2020 des milliardaires africains
Le magazine Forbes a mis à jour son classement annuel des milliardaires africains. Aucun changement en vue pour la première place toujours occupée par le magnat de la cimenterie Aliko Dangote. Sa compatriote nigériane Folorunsho recule de plusieurs places dans le nouveau classement des milliardaires africains.
• 20e Folorunsho Alakija (Nigéria) 1 milliard de dollars
• 19e Strive Masiyiwa (Zimbabwe) 1,1 milliard de dollars
• 18e Michiel Le Roux (Afrique du Sud) 1,3 milliard de dollars
• 17e Othman Benjelloun (Maroc) 1,4 milliard de dollars
• 16e Mohammed Dewji (Tanzanie) 1,6 milliard de dollars
• 15e Aziz Akhannouch (Maroc) 1,7 milliard de dollars
• 14e Youssef Mansour (Egypte) 1,9 milliards de dollars
• 13e Isabel Dos Santos (Angola) 2,2 milliards de dollars
• 12e Yasseen Mansour (Egypte) 2,3 milliards de dollars
• 11e Koos Bekker (Afrique du Sud) 2,5 milliards de dollars
• 10e Patrice Motsepe (Afrique du Sud) 2,6 milliards de dollars
• 9e Naguib Sawiris (Egypte) 3 milliards de dollars
• 8e Abdulsamad Rabiu (Nigéria) 3,1 milliards de dollars
• 7e Mohamed Mansour (Egypte) 3,3 milliards de dollars
• 6e Issad Rebrab (Algérie) 4,4 milliards de dollars
• 5e Johann Rupert (Afrique du Sud) 6,5 milliards de dollars
• 4e Nicky Oppenheimer (Afrique du Sud) 7,7 milliards de dollars
• 3e Mike Adenuga (Nigéria) 7,7 milliards de dollars
• 2e Nassef Sawiris (Egypte) 8 milliards de dollars
• 1er Aliko Dangote (Nigéria) 10,1 milliards de dollars.
Focus sur les milliardaires du continent africain
Chaque année, le magazine Forbes répertorie les milliardaires du continent africain. Ce sont environ une vingtaine de milliardaires qui sont tous les ans cités dans le classement mondial des milliardaires établis par le célèbre média américain Forbes.
Aliko Dangote, le géant de la cimenterie en Afrique
Aliko Dangote occupe depuis plusieurs années, le sommet du podium des milliardaires africains. Le milliardaire nigérian est né le 10 avril 1957 dans la République fédérale du Nigéria, plus précisément dans l’Etat de Kano. Le richissime homme d’affaires nigérian est originaire de l’ethnie Haoussa, l’une des ethnies les plus populaires de la République fédérale du Nigéria. Issus d’une famille de commerçants, le richissime milliardaire fait ses premiers pas dans le monde des affaires sous la houlette de son grand-père, qui également était bien connu dans le milieu du commerce, dans la sous-région ouest africaine. Dangote se lance dans le monde des affaires à l’âge de 20 ans, à savoir en 1977. Pour ses premiers pas dans le monde du business, il reçoit une importante aide financière de son grand-père. Ce dernier met à sa disposition trois camions de ciment et la bagatelle de 500 000 nairas, un prêt à rembourser sur une période de 24 mois, à savoir deux ans. Pour le développement de son entreprise Dangote Cement, le milliardaire nigérian prend la décision de s’installer dans l’Etat de Lagos dans les années 1980. Mais trois années plus tard, le Nigéria est frappé par un coup d’Etat militaire. Mais ce putsch militaire sera une aubaine pour l’homme d’affaires, puisque la junte au pouvoir mettra en prison la quasitotalité des hommes d’affaires du Nigéria. L’arrestation de la quasitotalité des hommes d’affaires de cette époque occasionne la libéralisation du marché, une occasion sur laquelle sautera bien entendu Dangote. Un an après la fondation de Dangote Cement, Aliko fonde en 1981 Dangote Group, qui deviendra dans les années à venir un vaste empire présent dans plusieurs pays du continent africain. Après la création de son nouveau groupe, l’entrepreneur nigérian diversifie ses sources de revenus en investissant dans plusieurs secteurs d’activité, notamment le riz et le sucre. Il investira d’ailleurs dans le secteur bancaire également, mais le milliardaire nigérian ne rencontrera pas un succès important dans le secteur financier, puisque la Banque fera faillite par la suite. Alors qu’il était bien tapi dans l’ombre, Aliko Dangote décide d’étaler sa fortune au grand jour dans les années 2007. En juillet 2007, le média américain Forbes déclare que la présentatrice américaine Oprah Winfrey, est la personne de couleur la plus riche du monde. C’est alors que le milliardaire nigérian sort de sa tanière en déclarant que sa fortune était bien plus importante que celle de la présentatrice américaine. Suite à l’introduction de deux de ses entreprises en bourse, sa fortune est estimée à 10 milliards de dollars. Grâce à la valorisation de ses entreprises, le milliardaire nigérian devrait alors l’homme le plus riche du continent africain, mais aussi la personne de couleur la plus riche, loin devant Oprah Winfrey. En 2013, Aliko Dangote, avec le soutien de plusieurs banques, mobilise la somme de 8 milliards de dollars, pour investir dans la construction d’une raffinerie de pétrole, dont la production quotidienne était estimée à 400 000 barils. Pour ceux qui l’ignorent, Aliko Dangote est le premier africain à avoir figuré dans le top 100 des hommes les plus riches de la planète. Et pour l’instant, il est l’unique africain à avoir réussi un tel exploit.
Mike Adenuga, PDG de Globacom
Si Aliko Dangote reste le milliardaire nigérian le plus connu à ce jour, il est important de rappeler que la République fédérale du Nigéria est un pays qui regorge de milliardaires. Parmi les fortunes qui sortent du lot dans ce pays de 180 millions d’habitants, le PDG de Globacom Mike Adenuga. Né le 29 avril 1953, le patron de l’opérateur Globacom, connu à l’état civil sous le nom de Michael Adeniyi Agbolade Ishola Adenuga Jr, est une personnalité bien connue dans le monde des affaires en République fédérale du Nigéria. Pour info, il occupe pendant de nombreuses années, la seconde place du classement des plus grosses fortunes nigérianes, juste derrière Aliko Dangote. En 2020, le dauphin de Dangote est classé 286e dans le classement mondial des milliardaires dévoilé par le magazine américain Forbes. Contrairement à Dangote qui a bâti sa fortune autour de l’industrie cimentière, Mike Adenuga investira lui dans le secteur des télécommunications et la production pétrolière. Son entreprise de télécommunication Globacom, est le deuxième plus grand opérateur mobile en République fédérale, avec plus de 50 millions d’abonnés actifs. Son groupe est également présent dans certains pays comme le Ghana et le Bénin. Comme de nombreux milliardaires africains, Adenuga a démarré au bas de l’échelle dans le monde des affaires. Il célèbrera son premier million à l’âge de 26 ans, million qu’il obtiendra grâce à la distribution de boissons gazeuses et la vente de dentelle ans son pays. Né d’un père instituteur, le milliardaire nigérian démarre son cursus scolaire dans l’Etat d’Ibadan, l’une des plus grandes villes de son pays, en termes de population. Après un parcours à Ibadan Grammar School, il obtient un certificat d’études supérieur. Grâce à son diplôme, il embarque pour les Etats-Unis pour poursuivre ses études. Face aux difficultés de la vie sur le sol américain, Adenuga est contraint d’effectuer des travaux à temps partiel pour pouvoir payer ses études sur le sol américain. Il travaillera notamment en tant que chauffeur de taxi aux USA pour trouver les ressources nécessaires au financement de ses études. Adenuga reviendra des USA après une formation en administration des affaires. C’est en 1990 qu’il obtient pour la première fois une licence de forage dans son pays, ce qui lui permettra d’exploiter la ressource la plus précieuse de son pays, à savoir le pétrole. Le groupe pétrolier Conoil connait une expansion sans précédents. Mais les succès ne le mettront malheureusement pas à l’abri des ennuis judiciaires. Mike Adenuga est aujourd’hui d’un rares milliardaires du classement africain de Forbes à avoir fait la prison pour blanchiment d’argent. C’est en 2009 que le milliardaire nigérian est épinglé pour blanchiment d’argent par la commission des crimes économiques et financiers du Nigéria. Deux ans avant, il était désigné meilleur entrepreneur africain de l’année lors de la première édition des African Telecoms Awards. En 2015, il lancera une opération pour la reconquête du Groupe Comium en Côte d’Ivoire, un opérateur mobile qui quittera le sol ivoirien à la grande surprise de ses employés, étant dans l’incapacité de solder les frais pour l’acquisition de la licence 4G.
Nassef Sawiris, première fortune égyptienne
Nassef Sawiris figure depuis de nombreuses années dans le classement Forbes dédié aux plus grosses fortunes du continent africain. Rappelons qu’en 2020, le richissime homme d’affaires égyptien a gravi des échelons dans le top classement des hommes les plus riches du continent établi par le magazine américain. Grâce à une fortune qui a atteint la bagatelle de 8 milliards de dollars, Nassef Sawiris s’est positionné comme le dauphin du nigérian Aliko Dangote dans le traditionnel classement des africains les plus riches, établi par Forbes. Né en 1961, il est l’un des trois fils du richissime homme d’affaires égyptien Onsi Sawiris, fondateur du groupe Orascom, l’une des plus grosses entreprises d’Egypte. Après avoir effectué des études au Caire, Nassef Sawiris embarque pour les Etats-Unis où il étudiera à l’université de Chicago. Lors de son passage dans cet établissement, Nassef décrochera son diplôme en économie. C’est au cours de la même année qu’il rejoint le groupe Orascom fondé par son père Onsi Sawiris. En 1998, il hérite de la présidence du groupe Orascom Construction, l’entreprise étant séparée en deux pôles, son frère ayant à sa charge le second pôle du groupe familial. En 2004, le groupe Orascom Construction Industries, OCI, acquiert la moitié des actifs du groupe Bexis, ce qui permet à Nassef Sawiris de siéger dans le conseil d’administration de l’entreprise belge. Entre 2004 et 2007, donc pour une durée de trois ans, l’homme d’affaires égyptien siège au conseil d’administration de la bourse du Caire. Fort de son ascension qui reste l’une des plus fulgurantes dans le monde des affaires en Egypte, le milliardaire siègera en 2015 au sein du Conseil d’Administration du géant Lafarge Holcim, une multinationale suisse qui opère à ce jour dans près de 70 pays dans le monde. En octobre 2015, l’homme d’affaires égyptien sera annoncé comme l’un des actionnaires de l’équipementier Adidas. Selon les informations qui circulaient à cette époque, Nassef aurait acquis, environ 5% de l’équipementier mondial. Quoi qu’il en soit, en 2016, Nassef sera nommé directeur de surveillance du groupe Adidas AG. L’homme d’affaires fera aussi la une de plusieurs magazines et revues lorsqu’il sera annoncé comme le successeur de Toni Xia, un richissime homme d’affaires chinois. Le milliardaire nigérian était pressenti comme le successeur du chinois à la présidence du club anglais Aston Villa, après l’acquisition d’environ 55% des actifs du célèbres club de foot anglais. Rappelons qu’en 2013, il avait été désigné membre du conseil d’administration de l’université de Chicago, université où il a obtenu son diplôme d’économie en 1982. Pour information, le milliardaire égyptien avait fait l’année dernière un don d’un montant de 24,1 millions de dollars à l’université de Chicago. Nassef explique avoir fait ce don pour aider les étudiants nigérians, mais aussi pour financer un programme de formation des cadres de cette institution américaine. Toujours pour le compte de cette même université, le milliardaire nigérian avait fait un don de 6 millions de dollars l’an dernier, à la Booth School of Business de l’Université de Chicago. Sur le plan privé, rappelons qu’il est déjà marié depuis plusieurs années. Nassef est père de quatre enfants. Jusqu’à ce jour, il reste le plus riche du clan Sawiris en Egypte.
Nicky Oppenheimer, première fortune sud-africaine
Nicky Oppenheimer figure depuis plusieurs années dans le classement annuel des milliardaires africains dressé par le magazine américain Forbes. Si le milliardaire sud-africain n’a jamais réussi à ravir la première place du classement au nigérian Aliko Dangote, Nicky Oppenheimer domine depuis des années le classement des hommes les plus riches d’Afrique du Sud. Né le 8 juin 1945, l’homme d’affaires sud-africain a dirigé pendant des années la compagnie d’extraction minière de Beers, une société familiale fondée il y’a plus d’un siècle par Cecil Rhodes. Nicky Oppenheimer a aussi été aux commandes de la société Diamond Trading Company, une des nombreuses filiales de la compagnie familiale. Le milliardaire sud-africain a fait ses études à Harrow School, une école spécialement ouverte aux garçons en Angleterre, école fondée en 1572. Durant son parcours scolaire, Nicky Oppenheimer a étudié la politique, mais surtout l’économie. Rappelons que le milliardaire sud-africain est titulaire d’une maitrise obtenue dans la célèbre école d’Oxford. Concernant sa carrière professionnelle, le milliardaire sud-africain a effectué ses premiers pas au sein de la compagnie Anglo American en 1968. Quelques années plus tard, plus exactement en 1974, le milliardaire sud-africain est nommé administrateur, avant de décrocher la vice-présidence du Groupe en 1983. Il démissionnera de son poste de vice-président en 2001, tout en conservant son titre d’administrateur, jusqu’en 2011. Pour la petite histoire Nicky Oppenheimer a géré la présidence du groupe d’extraction minière De Beers, de 1998 à 2012. Il convient aussi de rappeler que le milliardaire sud-africain a cédé en 2012 ses parts de l’entreprise familiale au groupe Anglo American. Il y’a de cela deux années, le milliardaire sud-africain figurait à la 23e place du classement des personnes les plus riches en Grande-Bretagne. Concernant le classement des milliardaires africains, Nicky Oppenheimer a longtemps été le dauphin du nigérian Aliko Dangote, toujours première fortune du continent africain, selon les dernières estimations du magazine américain Forbes. A l’instar des grosses fortunes de la planète, Nicky Oppenheimer n’hésite pas à faire parler son cœur quand l’occasion se présente. Avec son fils Jonathan, ils ont procédé à la mise en place de la Fondation Brenthurst il y’a une dizaine d’années. Cette fondation a été créée dans le but de prendre une part active dans les débats sur les stratégies de renforcement des performances économiques du continent africain. Durant la longue période de confinement liée à la maladie à Covid-19, Nicky Oppenheimer et sa famille ont fait parler leur cœur, comme l’a récemment indiqué son fils Jonathan dans un entretien exclusif : «Oui, Mary, ma tante et ses filles font leur propre truc. Nous sommes très séparés dans nos activités. Nicky, mon père et moi croyons en la création d’entreprises et c’est ce que nous faisons. Mary et ses filles sont très actives dans les espaces auxquels elles participent et dirigent leurs agendas. Nous gérons très efficacement en tant que famille la séparation douce et très indolore des deux moitiés. Donc, pendant que je regarde avec intérêt, je suis vraiment un tiers alors que vous regardez ce qui se passe et je leur souhaite bonne chance pour sauver l’industrie sud-africaine des courses… C’est une conversation qui pourrait durer longtemps. La réalité est que c’est toujours avec le recul, vous pouvez voir que vous auriez pu faire les choses mieux, mais dans l’ensemble et à travers l’examen de nos efforts à travers le temps, je pense que la famille a toujours poussé pour les droits des individus…Vous revenez à l’époque où mon grand-père a prononcé un discours alors qu’il était encore député, donc je suppose que c’était avant la mort de mon arrière-grand-père en 1957, où il a effectivement appelé à ce que les droits de tous les Sud-Africains soient reconnus comme pleinement soufflés au Sud Citoyens africains.», confiait Jonathan Oppenheimer il y’a de cela quelques mois. Contrairement à son père, Jonathan n’a pas figuré dans les récents classements officiels des milliardaires africains dévoilé par le magazine Forbes.
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